Du r�me [2 Bd.e]. Du r�me des maladies aigues - appendice - de l'aliment - de l'usage des liquides / Texte �bli et traduit par Robert Joly.

altersgem�sehr guter Zustand / tr�bon �t, compte tenu de l'� - NOTICE -- La di�tique dans la m�cine grecque classique. -- On ne saurait surestimer le r�de la di�tique dans la m�cine grecque classique. -- En l�absence de toute connaissance biochimique, m�cale et pharmaceutique vraiment scientifique, il �it fatal que la nourriture pr�une importance capitale, souvent fort exag�e. Pour le Grec de l��que, qui ignorait aussi l�existence des microbes, l�aliment �it, avec l�air, la seule chose que l�homme absorb�et f�sien : c��it donc aussi la cause essentielle des maladies internes. Pour �e scientifique, la di�tique aurait d� pouvoir se fonder, comme de nos jours, sur l�analyse chimique des aliments, les lois de l�assimilation et les besoins du corps, trois points o� l�ignorance, jusqu�au xixe si�e, �it �eu pr�totale. Ne nous attendons donc pas �rouver en Gr� une di�tique scientifique. -- Mais nous trouverons, d�le ve si�e, une di�tique rationnelle, c�est-�ire une � science � du r�me toute d�g�de la religion et de la magie, s��blissant par le seul effort de la raison. -- NOTICE -- Le probl� litt�ire -- Le R�me des maladies aigu�(RMA) s�ouvre sur un prologue (i-ix) dont la premi� section (i-iii) est une critique des Sentences cnidiennes et de l��le de Gnide, et dont la suite, apr�une d�nition tr�g�rale de l�id� m�cal de l�auteur (iv), expose l�importance des maladies aigu�(v), l�absence regrettable d�une doctrine commune en la mati�, l�incompatibilit�es traitements recommand�faisant grand tort �a m�cine aupr�des profanes (vi-viii), le probl� pr�s de la d�ction d�orge pass�ou non, qui va retenir l�auteur de fa� prioritaire (vu, 2) et l�importance de cette question (ix). -- Le corps de l�ouvrage s�occupe longuement de la d�ction d�orge non pass�(x-xxiv) et de l�infusion sans le grain (passim et xxv). L�id�centrale y est qu�il vaut beaucoup mieux donner la d�ction ou l�infusion d�le d�t de la maladie, plut�ue de la prescrire seulement apr�plusieurs jours d�abstinence totale. -- L�auteur aborde ensuite la question des boissons et, �e propos, il affirme la m� r�e (xxvi), mais sa critique des autres m�cins l�am� �a notion de changement, qui va l�occuper en une longue digression jusqu�au chapitre xlix.