Bon �t, sans ratures / Gut erhalten, ohne Anstreichungen. - TOME I: TABLE DES MATI�ES Pr�ce. CHAPITRE PREMIER Aux sources de l�illuminisme. Xvant-propos. � La thcosophie d�nie par les th�ophcs. I. � Comment on devient th�ophe : des chr�ens �luent graduellement vers un mysticisme ind�ndant des orthodoxies; des incr�les cherchent anxieusement une v�t�eligieuse hors des �lises �blies; des sceptiques r�quent en doute l�ordre rationnel comme l�ordre surnaturel. � L�initiateur et ses promesses. II. � Les pr�rseurs. Que lisent les Illumin� Devanciers hypoth�ques et r�s. Quatre �uvres �rgent : chez les Anciens, Platon ; au moyen �, l'Imitation. ; au dix-septi� si�e, B�hme et Mme Guyon. III. � Le v�cule de la doctrine. La soci� mystique. Ses rites et ses l�ndes. Elles concordent avec la vogue du genre � troubadour � et ces aspirations au myst� que refoulent les salons du si�e. IV. � A quelles doctrines communes ces diverses sources donnent naissance; quelles influences, quelles superstitions parall�s les renforcent �a fin du dix-huiti� si�e. CHAPITRE II Le premier martinisme. I. � Le fondateur : �gmes et certitudes de sa destin� Son origine, son caract�, sa vie. II. � L�aspect ext�eur du martinisme : la th�gie. Dans quelle mesure elle r�isait les espoirs des chercheurs de surnaturel. 111. � La doctrine : th�ie des nombres; �nation ; � crime primitif � de l�homme; la r�bilitation des �es sera-t-elle universelle?. IV. � Les disciples. L�artinisme se scinde vite en diverses �les : Paris, Lyon, Bordeaux. Quelques disciples marquants. Fournie, Saint-Martin : ce que ce dernier doit �on initiation ; en quoi, d�lors, il tend vers une doctrine personnelle. chapitre ni Les Swedenborgiens. Swedenborg : sa vie; son caract� placide; rien d�un enthousiaste. : I. � Le th�ogien; l'h�siarque; il attaque le catholicisme, le luth�nisme et l��lise chr�enne en g�ral, qui se trompe sur la Trinit�� L�heure de son jugement a sonn�t Swedenborg fondera une nouvelle �lise. II. � Il �die le sens mystique de la Parole: en d�it la th�ie des influx, et la morale qui�ste. III. � Le visionnaire : � Croyez-moi sans preuves �. � � Ce que mes yeux � ont vu �. � Ciel, enfer, terres astrales. � La mani� d��e des tr�ss� � Quelques verdicts sur des personnages illustres. IV. � L�influence. Jugements des autfes theosophes et des premiers disciples. � Elie Artiste. � Les premi�s Loges swedenborgiennes en France et ���anger. V. � Les Illumin�d�Avignon. � Naissance de la secte �erlin et en Pologne. � Les p�grinations des chefs. VI. � Les Illumin�d�Avignon : doctrine de la secte. � La Vierge magnifi� � De l'alchimie �a th�gie : les c�monies sur la montagne ; les Archanges et leurs oracles. VII. � 1789 et les approches du nouveau r�e. � L'apog�de la secte. � Les n�hytes illustres : Henry de Prusse, la duchesse et les princes de Wurtemberg, Sta�et Reuterholm. � �hec des pr�ctions; dissensions des adeptes ; les escroqueries d'Octavio Capelli. � Fin de la secte et passage des derniers survivants au martinisme. CHAPITRE IV Les soci�s mystiques. 1. � La poussi� des sectes : Les t�nnements du baron de Corberon. � Pullulement et vari� des Loges �ang�s. � �ocations et oracles. � Un exemple de ramification internationale : Falc, Salvert de Toux, Duchanteau. � Toutes ces soci�s participent de deux types. II. � Premier type : la soci� contemplative ; exemple : les qui�stes vau-dois. �� �lise int�eure � et crypto-catholicisme. �Dutoit-Membrini et sa doctrine : Th�ie de l�astral, � r�lations divines �'� � passive �, � cosmogonie (Elohim, chute d�Adam, m�msomatose), � r�e de mille ans, r�t�ation. � L�influence de Dutoit. III. � Deuxi� type : la soci� de mages-, exemple : les Illumin�de Copenhague. � Charles de Hesse : sa pi�, ses allures de Pape. � L�image du Christ du mar�al B�low. � Lavater �openhague : l�oracle. � La m�mpsycose et le petit jeu des r�carnations. � Saint Jean, ap�. � La d�ction de la comtesse Reventlow, la persistance de Ch. de Hesse et les vicissitudes de la soci� de Copenhague. IV. � Les tentatives d'union ; leur promoteur : \ illermoz. � �olution du martinisme �yon et Strasbourg. � Le christianisme exalte. � L� � agent de Lyon �. � Quelques adeptes. V. � Les convenis. Le convent de Lyon et les pr�ratifs de l�Assembl�de Wilhelmsbad. � F. de Brunswick, Ch. de Hesse, Willermoz. � Triomphe ��re du martinisme. � Man�uvres des vaincus : rationalistes et sectes mystiques dissidentes. � Les Philal�es essaient de reprendre l��uvre d�union �eur profit ; mais on ne les suit pas ; ils doivent bient�ecourir �illermoz lui-m�. � �hec final de toutes ces tentatives. chapitre v L�Illuminisme des salons et des carrefours. PREMI�E SECTION Le premier vulgarisateur : Lavater. I. � Le chr�en. Intransigeance et tol�nce simultan�. � Un cryptocatholicisme conditionnel. Individualisme religieux. � L��lise int�eure. Les �us. � M�physique unitaire et � tol�nte � : les correspondances ; la r�t�ation de l��e pervers. Le mill�ire et la b�itude des justes. IL � Le mystique. Th�ie de la perp�it�es dons et de l�intuition mystique. Les exp�ences : Swedenborg, Saint-Martin, Cagliostro, Mesmer, les Fr�s Initi�de l�Asie, etc. Il n�adh� pleinement �ucune secte, mais ses enqu�s les divulguent. III. � Le proph�. Physiognomonie et prescience. �endue de son rayonnement. � Attaques des rationalistes ; r�rves de certains amis. � Dirig� correspondants, visiteurs. � L�Ami des hommes, la Providence des �gr� DEUXI�E SECTION. 1. � L�exemple des cours. Quelques t�ins de la vogue du mysticisme. � Peu de choses �ire de l�Angleterre. � La Prusse de Fr�ric-Guillaume II. Les petites cours allemandes et Scandinaves. � D�une mani� g�rale, toute l�Europe non catholique adopte les tendances de l'illuminisme. Mais il se r�nd aussi �a cour de France, surtout par l�interm�aire des princes d�Orl�s. IL � Litt�teurs et savants. Sympt� d�illuminisme chez S�stien Mercier. � Que penser de H�ult de S�elles et de Volney? � Bernardin de Saint-Pierre, Beaumarchais. � Un th�ophe �dit : Court de G�lin. � La vogue de l�orientalisme, la science compar�des religions et leurs rapports avec certaines recherches des mystiques. III. � Saint-Martin, pr�cateur mondain. Le galant homme ; ses dissertations sur Pascal, sur les � philosophes �, sur Bousseau. � Sa conception du po� philosophique tient de la versification voltairienne ; mais par son admiration de la Bible, par son amour de la nature, il annonce le romantisme. ]V. � Cazotte et la marquise de la Croix. Cazotte martiniste. � Le salon mystique de la marquise. � La th�gie contre-r�lutionnaire. � De la proph�e de Cazotte et de son degr��authenticit�TROISI�E SECTION. I. � Pr�rseurs de Cagliostro. La vie �gmatique du comte de Saint-Germain. IL � Cagliostro. Scs aventures, ses proc�s, sa doctrine, n�offrent rien qui le distingue essentiellement de la plupart des illumin� Par l��explique sa gloire, et l�ardeur avec laquelle les mystiques le d�ndront m� apr�son proc� III. � La l�nde de Cagliostro; ses disciples. Leur �lution, �yon, Paris, Strasbourg et B�. Bamond d^Carbonni�s. Cagliostro, victime de l'Inquisition, est divinis�La rencontre d�Aarau, o� Lavater transmet �es disciples la b�diction de saint Jean l��ang�ste. IV. � Alchimistes, n�omans, gu�sseurs, tireurs de caries. Les apparitions de saint Jean-Baptiste. La folie de Mme d�Urf�Les pr�ntions d�All�te. � Le magn�sme. Th�ie purement m�cale au d�t, il devient bient�pour la foule, une interpr�tion de l�univers, la preuve de son unit�l�explication des miracles, et comme une r�lation nou-velle. Les pol�ques accentuent ce caract�. Bient�les somnambules pr�eront une religion universelle. chapitre vu L�Illuminisme r�lutionnaire. I. � L�explosion du mill�risme. � Ses pr�rseurs. Attente de l�� d�or, d�une troisi� r�lation. L�approche de la fin du monde, du � nouveau r�e �. Les �euves pr�minaires ; le rachat par le sang. Pr�sions hasardeuses, et pr�ctions �r� ��ce. II. � La duchesse de Bourbon. Ses penchants �a superstition ; le magn�sme. Condamnation de l��lise �blie, que supplantera � le christianisme int�eur �. Cosmogonie b�hmiste et martiniste. Le qui�sme et l�abdication devant les r�lutionnaires. 111. � L�utilisation politique du mysticisme. Les divagations de Suzette Labrousse, que Pontard exploite au profit des jacobins. Le Journal proph�que interpr� diverses proph�es en faveur du clerg�onstitutionnel. Robespierre et Catherine Th�. Fin mis�ble de ces idoles d�un moment. IV. � Vers le n�paganisme : Restif de la Bretonne. Une � religion physique � et sexuelle. Panth�me mat�aliste. Animisme, �lution. La volupt�ivinis� Le culte des astres g�rateurs an�tira l��lise chr�enne.-. Y. � La religion communiste de Nicolas Bonneville. Ami de Restif, dont il partage les tendances, Bonneville veut fonder un culte civique, et donne aux symboles chr�ens une signification libertaire et �litaire. A lui commence la lutte du mysticisme chr�en contre l�illuminisme r�lutionnaire, en France. CHAPITRE VII Saint-Martin th�ophe et th�rate. I. � La r�diation de l�occultisme. Une double d�ption atteint Saint-Martin : l�insucc�de sa pr�cation dans les Loges, et la vogue de charlatans tels que Cagliostro ou Suzette Labrousse. Il admet toujours l�authenticit�es exp�ences th�giques, mais les juge dangereuses. De Martines de Pasqually, il passe ��hme. II. � La transformation du martinisme. Sous l�influence de Bcehme, Saint- Martin m�rit sa doctrine. Il insiste sur l'identit�e l�esprit et de la mati�, emprunte certaines croyances nouvelles au Philosophe Teuto-nique, mais renonce plus d�une fois aux vues � tol�ntes � du dix-huiti� si�e. Les th�ies de ces derniers ouvrages, voil�e que les romantiques appelleront � martinisme �, de� le moment o� seront dis- parus les ma�es authentiques de l�Ordre. III. � L�exp�ence r�lutionnaire. Saint-Martin y voit le doigt de Dieu : ses r�exions l�am�nt �ne conception de la Providence qui semble annoncer Joseph de Maistre. La th�ratie; la tradition. IV. � Le d�uillement mystique et le retour vers l�orthodoxie. M�ant envers la magie, indiff�nt �a politique, le Philosophe Inconnu sonde le n�t de toute activit�umaine ; il se r�gie dans la pri�. L�Eglise, qu�il jugeait condamn�en 1796, reprend �es yeux sa valeur : il s�en rapproche sensiblement, tout en continuant d�opposer � christianisme � et � catholicisme �. chapitre vin Les ennemis de l�Illuminisme. I. � Imprudence des illumin� qui s�attaquent �a fois au rationalisme et ��orthodoxie. H. � L�offensive contre les rationalistes. Projets d�union des �lises, au profit de Rome ou du christianisme int�eur. Le front unique contre les incr�les. Les j�ites ressusciteront-ils ? Le � crypto-catholicisme �. La r�tion th�ratique en Allemagne. III. � La bataille. Voltairiens contre illumin� Catholiques contre illumin� La fusion des deux pol�ques. IV. � Apr�la bataille. Accueil fait au livre de Barruel ; r�tations peu convaincantes; mais scepticisme des monarchistes. De nombreux th�sophes encouragent la pol�que contre les illumin�de Bavi�. Ils sont d�ailleurs tr�divis�politiquement. Toute la gamme des partis se trouve repr�nt�parmi eux. Au fond, la politique ne les int�sse gu�.' TOME II: DEUXI�E PARTIE LA G��ATION DE L�EMPIRE (1800 1820) CHAPITRE PREMIER Les survivances. I. � Th�ophie ei pr�mantisme. En d�t de r�stances de la part des illumin� les deux mouvements concordent en plus d�un point. Sentiment de la nature, besoin d�infini, supr�tie de l�amour, beaut�de la Bible. II. � Survivances du mill�risme et de l�illuminisme des carrefours. Mlle Le Normand. III. � Du martinisme au christianisme. IV. � Gence, son ma�e Antoine de la Salle et son �le Aza� V. � Quelques isol�: Co�in, Dupont de Nemours. VI. � Quintus Aucler et le n�paganisme ; Chais de Sourcesol et l��lise int�eure. VII. � Romantisme et th�ophie en Allemagne : influence croissante de B�hme, de Lavater, de Saint-Martin. VIII. � Eckartshausen et son �uvre. IX. � Jung Stilling, le pape-protestant. X. � Philosophes et po�s, de G�the �ovalis. chapitre n Le comte Joseph de Maistre. I. � Lectures de jeunesse et carri� ma�nique. II. � Le martiniste : ses relations avec Willermoz et le Philosophe Inconnu. III. � Exp�ences d�exil : la soci� martiniste de Saint-P�rsbourg; les projets apocalytiques de Gustave IV ; la Sainte-Alliance et le pi�sme. IV. � L�adaptation catholique du martinisme. Unit�u monde ; symbolisme et spiritualisme ; d��ce et r�bilitation. V. � Th�ratie et r�lution. VI. � Jugement d�nitif de Joseph de Maistre sur les Illumin�et des Illumin�sur Joseph de Maistre. CHAPITRE III Mme de Sta�et son entourage. I. � Son point de d�rt. Rousseauisme, d�me, protestantisme. Relations de famille et de jeunesse. La soci� du baron de Sta� �olution des id� de Mme de Sta�(i8go-i8o4) aux approches de sa crise mystique. IL � Le synode de Coppet. Vulgarisateurs de la philosophie allemande. Schlegel, Charles de Villers, Elz� de Sabran, Mme de Kr�dener. III. � Qui�stes et martinistes. Le dernier pape des qui�stes : Charles de Langallerie. Mathieu de Montmorency. Le marquis de Dampierre. Les avatars du comte de Divonne. IV. � Zacharias Werner, p�rin d�amour. Ses ant�dents; sa doctrine; ses projets. Le s�ur de Werner �oppet et son influence sur la ch�laine. V. � La fin de la crise mystique et son utilisation litt�ire. R�ries, hypoth�s, curiosit� Le livre de l�Allemagne. CHAPITRE IV Les r�urs et les fantaisistes. I. � Bonald et Chateaubriand. En quoi l�on pourrait imaginer que ces deux auteurs furent touch�par l�illumisme ; invraisemblance d�une telle supposition. IL � S�ncour : ses lectures, ses r�ries. III. � Charles Nodier, Son caract� : scepticisme, curiosit�go�t du myst�. L�attrait des soci�s secr�s. IV. � Le groupe de Bonneville vieilli. Les m�tateurs de Passy : Maurice Qua�Auguste Gleizes. Nodier en tire une philosophie pythagoricienne. V. � L�utilisation litt�ire. Nodier �dit : le go�t du folklore. Ses l�ndes fantastiques ou po�ques. VI. � L��ge de la folie. L�illumination de 1828 conduit Nodier ���boration de tout un syst� th�ophique. CHAPITRE V Fabre d�Olivet. I. � Avant l�initiation. L�homme de lettres ; le disciple de Delisle de Sales. IL � Initiation probl�tique. Le philologue, l'orientaliste. Le chef de secte. III. � M�physique du destin. Union du mosa�e et du polyth�me raisonn�Le pythagoricien : unitarisme et sciences occultes. IV. � � Sa � Gen�. Cosmogonie, eschatologie. L�histoire n�pa�ne et hindouiste. V. � Conclusion politique : absolutisme et th�ratie. CHAPITRE VI Mme de Kr�dener. I. � Ses origines. La v�mondaine. Premi�s relations avec l�illuminisme. Influence et lectures diverses. II. � Sur le sol mystique d�Alsace. Jung Stilling et le pasteur Fontaine. Oberlin, continuateur de Swedenborg. III � Les d�ts de la proph�sse. Le mill�risme antinapol�ien. L�empereur Alexandre : la Sainte-Alliance. Vers l�union des �lises et des peuples. IV. � Le s�ur �aris. Propagande mondaine. Benjamin Constant : son pass� son amour orageux pour Mme de Sta�et les consolations de.Langallerie ; son amour malheureux pour Mme R�mier et les consolations de Mme de Kr�dener. V. � La fin. S�obstinant �r�re des calamit�qui n�arrivent pas, � suspecte aux �lises en raison de son attitude ambigu�� accus�de communisme par les autorit�civiles, � elle ach� mis�blement une carri� qui fut si brillante. CHAPITRE VII Ballanche et le groupe lyonnais. I. � Ballanche : ses d�ts, ses amis. L�ambiance lyonnaise. Le martinisme. II. � Platonisme, pythagorisme, orientalisme. Fabre d�Olivet. Le baron d�Eckstein. III. � Le groupe lyonnais. Roux-Bordier et Claude-Julien Bredin. Les incertitudes d�Amp�. �olution de Ballanche sous l�influence de Claude-Julien Bredin. Son voyage en Italie. Son oeuvre se pr�se, mais il ne se r�udra jamais �ui donner une forme d�nitive. IV. � Ballanche se croit inspir�Sa th�ie de l�initiation. V. � Doctrine de Ballanche. Origine de l�homme. D��ce et r�bilitation. R�lation, traditions, th�ratie. Notre destin� future. VI. � Du christianisme suivant la lettre au christianisme selon l�esprit. Vers l�union des �lises. Le futur mill�ire, ou la nature transfigur�par l�homme r�n�. CHAPITRE vin Vers une renaissance de l�illuminisme. I. � L�Illuminisme catholique. Rupture entre l�illuminisme et la franc-ma�nerie. Des pr�es mill�ristes et d�nologues : de l�abb�iard ��abb�urtz. II. � Suite de l�ancienne th�ophie. La deuxi� 4vague de sweden-borgisme : Devismes et Bonifas-Laroque. O� le swedenborgisme se teinte de martinisme. Les qui�stes. Les magn�seurs. III. � Ho� Wronski. Une religion � scientifique �. La d�uverte de l�Absolu. Lutte contre les anciennes formes du mysticisme. L�affaire Arson : o� les mauvais esprits s�incarnent sur la terre. IV. � Suite du martinisme. Intervention des martinistes dans l�affaire Arson. Les Opuscules th�ophiques du capitaine Bernard. V. � Politique d�abord. L�Illuminisme d�cratique. Changement d�orientation dans les tendances de l�occultisme. Alexis Dumesnil. Les d�ts de Fourier : un continuateur de Restif de la Bretonne. VI. � R�pitulation. Ce que fut l�illiminisme fran�s entre 1770 et 1820. En quoi les mystiques du dix-huiti� si�e contribuent �a gen� du romantisme; comment la l�nde de l�illuminisme, qui s��bore sous l�Empire, va pr�nter une excellente mati� aux po�s et aux romanciers ; comment se pr�re une nouvelle th�ophie, �endances politiques cette fois, qui s��nouira vers i83o. Les sources occultes du romantisme n'en �airent-elles pas de nombreux aspects, et jusqu��a d�nition ?. Appendice I. � Illumin�et Juifs. Appendice II. � La correspondance de Pernety et de Nordenskj� Appendice III. � Extraits d�une lettre de Nette Lavater �on amie Gertrude Sarazin sur les Illumin�de Copenhague. Appendice IV. � Une lettre in�te de Saint-Martin. Appendice V. � Une visionnaire au si�e de Jean-Jacques : Mlle Brohon. Bibliographie. Index alphab�que des noms propres.