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Libros antiguos y modernos

Janssens, Herman F.

L'Entretien de la Sagesse de Bar Hebraeus. Introduction aux Oeuvres Philosophiques.

Facult�e Philosophie - Li� / Librairie E. Droz - Paris., 1937.,

49,00 €

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(Berlin, Alemania)

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Detalles

Autor
Janssens, Herman F.
Editores
Facult�e Philosophie - Li� / Librairie E. Droz - Paris., 1937.
Formato
375 Seiten / p. Privatbindung / Halbleinen und Originalcover aufgeklebt.
Sobrecubierta
No
Idiomas
Francés
Copia autógrafa
No
Primera edición
No

Descripción

Aus der Bibliothek von Prof. Wolfgang Haase, langj�igem Herausgeber der ANRW und des International Journal of the Classical Tradition (IJCT) / From the library of Prof. Wolfgang Haase, long-time editor of ANRW and the International Journal of the Classical Tradition (IJCT). - sehr guter Zustand / tr�bon �t - INTRODUCTION -- Il y a plus d�un demi-si�e, Abbeloos et Lamy, les savants �teurs de la Chronique Eccl�astique, formulaient le d�r de voir publier les ouvrages de Bar Hebraeus qui �ient encore in�ts ; tous, disaient-ils, m�tent �lus d�un titre de retenir l�attention. On s�accorde, en effet, �econna�e que le grand polygraphe syrien du XIIIme si�e l�emporte sur la plupart de ses compatriotes de tous les temps, par le nombre et l��ndue de ses �its, la diversit�e son talent et le caract� encyclop�que de son savoir. Bar Hebraeus a � po�, historien, grammairien, philosophe, astrologue et m�cin ; il a � homme d��de et homme d�action, politique habile, pr�t r�r�t, pour finir, mystique fervent. Tout en prenant une part active aux �nements d�un si�e particuli�ment troubl�il a trouv�e temps, bien que sa vie n�ait pas � longue, de produire une �uvre tellement vaste que, malgr�es d�uts et malgr�es erreurs, c�est peut-�e encore lui qui occupe la place la plus importante dans l�histoire de la litt�ture syriaque. -- A l��que de Bar Hebraeus, cette litt�ture, d� vieille d�un mill�ire, penchait vers son d�in. Encore qu�on puisse �on droit en d�orer le manque d�originalit�l�activit�itt�ire des Syriens n�a pas � st�le. C�est, on le sait, dans les traductions faites au cinqui� si�e par les savants des fameuses �les d�Edesse et de Nisibe, que les Arabes ont appris �onna�e, en une langue �oitement apparent��a leur, les monuments de la pens�grecque. Quelque grande qu�ait � son ind�ndance dans la suite, la pens�arabe n�aurait pu jouer dans l�histoire de la philosophie le r�qu�elle y a tenu, si, �es d�ts, elle n�avait pas b�fici�u travail des Syriens.
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