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Libros antiguos y modernos

Jean François Collin D'Harleville

LES CHATEAUX EN ESPAGNE (1790). Assieme a: L'OPTIMISTE, OU L'HOMME CONTENT DE TOUT (1788). Assieme a: LES MOEURS DU JOUR, OU L'ECOLES DES JEUNES FEMMES (1800). Assieme a: LES ARTISTES (1797). Assieme a: N-J Forgeot, LE MENSONGE OFFICIEUX (1796).

Moutard, Didot, Charon, Huet, 1788-1800

160,00 €

Bacbuc Libreria

(Roma, Italia)
Cerrado hasta 13 de agosto de 2025.

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Detalles

Año de publicación
1788-1800
Lugar de impresión
Paris
Autor
Jean François Collin D'Harleville
Editores
Moutard, Didot, Charon, Huet
Materia
TEATRO
Idiomas
Italiano

Descripción

E. O. Edizioni originali. Raccolta di quattro commedie di Collin d'Harleville, più una di Forgeot. Riunite in un volume (12,5x20,5 cm) di 133pp, 69pp, 20pp, 79pp, 62pp. Edizioni originali, in lingua francese. Ogni commedia con pagina di titolo (staccata quella della prima pièce); ottime condizioni interne del volume. Modeste invece le condizioni esterne: legatura coeva in mezza pelle, dorso spellato e usurato, piatti con carta marmorizzata assai usurata. Vendu dans les conditions décrites (no return) - Rara raccolta delle commedie più importanti di Collin d'Harleville nelle loro prime edizioni. –- Jean-François Collin (1755-1806) “En 1788, L’Optimiste, en cinq actes, remporta un succès. « L’intrigue, dit La Harpe, en est un peu faible, mais bien conduite et bien ménagée ; elle a même un mérite dramatique, c’est d’amener naturellement des incidents qui font ressortir le principal caractère”. Le succès fut à nouveau au rendez-vous en 1789 avec Les Châteaux en Espagne, qui fait fonds d’un caractère proche de l’optimiste mais, comme le dit Geoffroy, « avec deux grains de folie ». C’est la pièce la plus comique de l’auteur. L’Optimiste fut vivement attaqué par Fabre d'Églantine, qui accusa l’auteur de propager des sentiments contre-révolutionnaires. Ces accusations n’affectèrent pas la carrière de l’auteur, qui se faisait désormais appeler Collin-Harleville, portait l’uniforme de commandant de la Garde nationale et faisait des déclarations patriotiques. . Sous la Terreur, Collin d’Harleville donna des vers pour les grandes fêtes civiques. En 1795, il reçut une gratification de la Convention et siégea à l’Institut de France nouvellement créé. Il fut élu à l’Académie française en 1803. Néanmoins, ces honneurs ne purent lui ramener un succès qui s’éloigna durablement de lui et avec qui il ne renoua que brièvement avec Les Mœurs du jour (1800)”. (Wikipedia)
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