Receuil (sic) de poésie par Mlle de ST PH. avec des airs notés à la fin

Petit manque de papier au dos et sur un plat. Par Françoise-Thérèse Aumerle de Saint-Phalier, d'après Cioranescu et Quérard, également d'après la permission tacite accordée entre le 18 février 1751 et le 15 mars 1751 pour un "Recüeil de diverses pièces fugitives de mad[am]e de S[ain]t Phal." (BnF, ms. fr. 21994, nÊ 23 ; ms. fr. 21982). Fausse adresse : publié à Paris par Jacques-François Mérigot d'après la permission tacite ; impr. en France d'après les usages typogr. et le papier (Auvergne) Titre à encadrement orné gr. sur cuivre ; culs-de-lampe gr. sur bois, dont certains par Vincent Le Sueur qui signe : "V. L.", bandeau typogr. ; pl. de musique gr. sur cuivre .Les f. signés B4, D4, E6, D4 et F7 sont des cartons. Contient à la fin : "Catalogue des livres d'assortiment qui se vendent chez Merigot fils, libraire, quay des Augustins" . Il n'existe que 5 exemplires en France : 1 à Tolbiac, 3 à l'Arsenal et 1 à Richelieu. Edition originale très rare dans son papier de parution. Fortunée Briquet dans Les femmes de théâtre cite une autre pièce plus connue de Melle Dalibard dite Melle de saint Phalier " La Rivale confidente", comédie en 3 actes et en prose, jouée au théâtre italien en 1752.